Mon premier stage. C'était chez Maître Justin.

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il y a 7 ans

Bonjour à tous,

Je sors de mon premier stage de soumission. C'était chez mon Maître, Maître Justin, les lundis 21 et mardi 22 août, dans sa maison à la campagne.

Je ne vais pas avoir assez d'espace pour relater en détail tout ce qui s'est passé car, deux, jours, ça fait long à décrire. Je vais donc vous faire un petit résumé succinct.

Je suis arrivé le lundi matin, à 8h30. Direct, j'ai dû me mettre tout nu et enfiler le gode blanc en silicone fabriqué par mon Maître et maintenu en place par une ceinture de chaînette qu'il venait de confectionner. Hop, en voiture tout-terrain direction la boulangerie via des petites routes bien défoncées, voire même des chemins de forêts. Aïe entre mes fesses, en dedans …

Au retour, bondage des couilles et pinces aux tétons. Mon Maître m'a maquillé et coiffé à sa convenance. Ensuite, repas à genoux à côté de la table de mon Maître, puis rangement du bois fraîchement débité dans la remise derrière la maison. Alors, petite séance dilatation en étant allongé les jambes relevées écartées et attachées ainsi. Pour moi, la première tentative de fist que j'ai vécue. Echouée, évidemment. J'ai bloqué à 4 doigts. Mais mon Maître n'en est pas resté là et il a alors introduit un magnum de Bourgogne (vide, faut-il le préciser). Enfin, juste le goulot, évidemment. Il a mesuré : 7 centimètres de diamètre.

Tout cela était neuf pour moi et j'avais donc déjà le cul bien attaqué après toute la matinée en plug, la route défoncée et cette dilatation. Et c'est ma rondelle un peu fatiguée déjà que mon Maître a entrepris de caresser avec des orties. Argh ! Je ne voyais pas ce qu'il faisait. La surprise, un début de fatigue et le travail déjà subi, j'ai détesté. Mon Maître a cessé pour venir m'étaler à la place une sauce chinoise aux piments. J'ai craqué. J'ai eu le droit de me doucher l'anus pour tout faire partir. Merci Maître. Puis soirée dans le salon avec léchage des pieds de mon Maître. Il semble avoir apprécié et a même vanté mes qualités de lécheur. Encore merci Maître. Puis dodo, sur un tapis de mousse posé sur le sol du salon. Avec oreiller et couverture car il ne s'agissait pas non plus que je prenne froid.

Le lendemain, réveil, lavement et lavage, mise en place du gode blanc, bondage de mes couilles au lacet et mise en place de suceurs de tétons pour me les développer. Et ma première séance de maquillage par moi-même pour bien paraître salope au goût de mon Maître. Travail de déblayage de terre à la pelle et brouette dans une partie de la grange appelée à être aménagée. Et ma première uro. D'abord pour nettoyer la verge de mon Maître quand il a eu fini puis ensuite pour lui servir carrément d'urinoir. J'ai même dû goûter ma propre urine. Je ne peux pas dire que j'aime ça, vraiment. Mais est-ce que ça compte ?

J'ai pu retirer les suceurs assez tard dans la journée, après le repas du soir. Je les portais depuis au moins 6 heures de temps, je crois. Mes tétons étaient tout développés, bien sûr, mais aussi un peu abîmés, surtout le droit. Mon Maître adore me lécher, sucer et mordiller les tétons. J'adore aussi quand il le fait. Il a donc commencé à s'y mettre, assis dans son fauteuil, moi debout devant lui. Mais, cette fois, c'est de la douleur que je ressentais quand la bouche de mon Maître se posait sur mon mamelon. Une douleur atroce. Je me suis tortillé, j'ai supplié, presque pleuré, je me suis débattu et j'ai crié. J'espérais vraiment la fin de ce calvaire mais, je devrais y penser quand ce genre de choses se produit : mon Maître adore me voir me démener sous les traitements douloureux qu'il peut m'infliger. Et je soupçonne qu'il a pris encore plus de plaisir que d'habitude à prendre mon téton dans sa bouche ce soir-là. Que pouvais-je faire ? Il m'a ordonné de m'offrir à lui, de lui offrir mon mamelon. J'ai dû moi-même le mettre entre ses lèvres en sachant ce que j'allais endurer. J'ai obéi, évidemment et j'ai subi la douleur. Surement le moment le plus dur du stage avant même l'épisode des orties et de la sauce chinoise. Puis dodo.

Je n'ai relaté là que les moments que je qualifierais d'uniques. Mais il faut bien imaginer que tout cela a été agrémenté par de nombreuses séances de fessée, à la main, à la brosse à cheveux ou encore au Stick en bambou. En arrivant, suite à quelques manquements, je devais recevoir 70 coups de correction. 50 reçus pour la punition et pas mal d'autres aussi en dehors de tout châtiment, juste parce que mon Maître en avait envie. Mais bon, soumis maladroit, j'ai encore commis des fautes pendant le stage et ce n'est pas 20 coups qu'il me reste à recevoir en punition, mais encore 50. Ceux-là, je n'ai pas eu le temps de les prendre. Je les garde donc en compte pour la prochaine occasion.

Et c'est sans compter les diverses séances de sexe. Mon Maître adore et moi aussi, ça tombe bien, non ? Parfois, bizarrement, elles coïncidaient avec les coups que je recevais hors punition (ça, j'aime moins, mais pas mon Maître ...). Hélas, alors que je n'avais pas joui depuis le mercredi 26 juillet, sur ordre et en prévision de ce stage, je n'ai pas non plus eu le droit de jouir pendant le stage. Voilà, la vie de soumis est faite de frustration. Mais pas seulement, on y trouve aussi de l'obéissance, de la douleur, parfois, de l'excitation et même du plaisir. Bref, de la soumission, quoi.

Je suis reparti le mercredi matin, après deux très bonnes journées mais un peu soulagé que ce soit fini, je dois l'avouer.

Je vous remercie, Maître, comme toujours, pour l'occasion que vous me donnez de m'offrir à vous, et pour ces moments que vous me faites vivre, parfois difficiles, mais toujours délicieux quand même.

Votre Jérômette

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